L’attaque de Kenscoff déplace 3 000, dont 721 enfants, car les victimes restent dans les limbes | Photos

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Aperçu:

Dix jours après que les gangs ont attaqué les communautés BELOT et GOBET de Kenscoff, tuant 50 et déplaçant 3 000, les survivants restent dans des conditions désastreuses.

PORT-AU-PRINCE – Des milliers de résidents des communautés BELOT et GOBET de Kenscoff sont dans les limbes après un violent assaut de gang le 28 janvier, laissé 50 morts, 11 blessés et 3 000 déplacés, dont 721 enfants.

Plus de dix jours après l’attaque, de nombreux survivants restent dans des abris de fortune, notamment Furcy National School, Lycée Jean Paul II et le bureau du maire de Kenscoff, qui abrite maintenant 223 familles.

Une nuit de terreur à BELOT et GOBET

L’attaque a vu des membres de gangs fortement armés d’assaut, ouvrant le feu sur des civils avant de mettre les maisons en feu. Une famille entière de huit personnes a été assassinée, tandis que d’autres ont réussi à fuir dans les montagnes ou à chercher refuge dans les places publiques de Pétion-Ville.

Malgré les mesures de sécurité antérieures des autorités locales, les gangs ont réussi à prendre le contrôle des routes clés, en particulier un passage alternatif reliant les départements ouest et sud-est – une bouée de sauvetage cruciale pour les voyageurs évitant la route nationale contrôlée par un gang n ° 2 via Martisant et Carrefour.

Les gangs ciblent l’emplacement stratégique de Kenscoff

Situé à moins de huit miles de Pétion-Ville, le terrain montagneux de Kenscoff a historiquement servi de voie alternative sûre aux résidents et aux commerçants. Cependant, les gangs ont intensifié les efforts pour contrôler la zone, coupant un autre passage critique pour ceux qui cherchent à échapper à la violence à Port-au-Prince.

Voici une démonstration de photos qui offrent un aperçu de la vie quotidienne de milliers de résidents déplacés après l’attaque du 28 janvier

Un enfant effrayé se trouve sur un tas de bois au bureau du maire de Kenscoff, servant maintenant d’abri pour les personnes déplacées par des attaques de gangs. La violence a forcé environ 3 000 habitants à fuir, dont 721 enfants – 358 filles et 363 garçons. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne, 5 février 2025.
Les gens forcés de fuir leurs maisons par des gangs cherchent refuge au bureau du maire de Kenscoff. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne.
Les personnes déplacées par la violence des gangs se réfèrent au bureau du maire de Kenscoff. Photo de Dieugo André pour l'époque haïtienne.
Les personnes déplacées par la violence des gangs se réfèrent au bureau du maire de Kenscoff. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne.
Les résidents déplacés de Kenscoff, y compris les enfants forcés de leur domicile après l'attaque des gangs du 28 janvier, reçoivent de la nourriture au bureau du maire de Kenscoff, maintenant un refuge pour les violences fuyant. Photo de Dieugo André pour l'époque haïtienne.
Les résidents déplacés de Kenscoff, y compris les enfants forcés de leur domicile après l’attaque des gangs du 28 janvier, reçoivent de la nourriture au bureau du maire de Kenscoff, maintenant un refuge pour les violences fuyant. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne.
Les résidents déplacés de Kenscoff s'alignent dans la cour du bureau du maire pour recevoir de la nourriture le 5 février 2025. Photo de Dieugo André pour l'époque haïtienne.
Les résidents déplacés de Kenscoff s’alignent dans la cour du bureau du maire pour recevoir de la nourriture le 5 février 2025. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne.
Un résident déplacé se lave les mains à l’aide d’un distributeur d’eau de fortune. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne.
Les forces de police nationales, dont l’unité PNH UDMO et les officiers kenyanes, patrouillent à Furcy dans la municipalité de Kenscoff le 5 février 2025, pour empêcher les gangs d’avancer davantage. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne.
Un officier de police de l’unité de police nationale haïtienne UDMO et un officier kenyan pointent vers les mouvements de gangs dans la région de Furcy le 5 février 2025. Photo de Dieugo André pour l’époque haïtienne.

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