Joe Biden prendra la parole après s’être retiré de la course à la présidentielle américaine

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Alors que les démocrates se rassemblent à Chicago et que la campagne de Trump se poursuit en Pennsylvanie, de plus amples détails ont émergé sur les efforts de l’Iran pour interférer avec les élections.

Des responsables du renseignement américain ont déclaré être convaincus que l’Iran était responsable du piratage de la campagne présidentielle de la vice-présidente Kamala Harris, ainsi que de celle de Donald Trump.

Cette annonce présente cette cyberintrusion comme faisant partie d’une initiative éhontée et plus vaste de Téhéran visant à interférer dans la politique américaine et à saper la confiance dans les institutions démocratiques.

La déclaration conjointe du FBI et d’autres agences fédérales indique que les pirates informatiques ont « cherché à accéder à des personnes ayant un accès direct à la campagne présidentielle des deux partis politiques ».

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Selon les responsables fédéraux, le but du piratage informatique et des autres activités n’était pas seulement de semer la discorde, mais aussi de façonner le résultat d’élections que l’Iran perçoit comme étant « particulièrement importantes en termes d’impact qu’elles pourraient avoir sur ses intérêts de sécurité nationale ».

« Nous avons observé une activité iranienne de plus en plus agressive au cours de ce cycle électoral, impliquant notamment des opérations d’influence ciblant le public américain et des cyberopérations ciblant les campagnes présidentielles », indique le communiqué, qui, outre celui du FBI, a également été publié par le Bureau du directeur du renseignement national et l’Agence de cybersécurité et de sécurité des infrastructures.

Bien que la campagne de Trump et les enquêteurs en cybersécurité du secteur privé aient précédemment déclaré que l’Iran était derrière les tentatives de piratage, c’était la première fois que le gouvernement américain imputait la responsabilité de l’attaque.

AP

À suivre