Les États-Unis ne peuvent pas résoudre la crise climatique seule, mais nous devrions faire quelque chose

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À l’éditeur: Écrire quelque chose ne le fait pas ainsi (“Un rapport climatique sans déni et sans sonnerie d’alarme excessive”, “ 14 août). Il y aen fait, «des preuves convaincantes que les ouragans, les tornades, les inondations ou les sécheresses américains sont devenus plus fréquents ou intenses au cours des dernières décennies» (notez que l’écrivain contribuant Véronique de Rugy omet la mention des incendies, où je rassemble, il y a encore plus de preuves indéniables). Le coût de ne rien faire dépassera de loin le coût de la transition énergétique agressive et de la réduction du carbone. Le fait que les États-Unis ne puissent pas à lui seul relever ce défi n’est guère une raison de ne pas démontrer le leadership mondial dans ce contexte.

Thomas Bliss, Los Angeles

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À l’éditeur: Félicitations au Los Angeles Times pour imprimer cette colonne sur une évaluation équitable et équilibrée du changement climatique, ses effets et ce que nous pouvons faire à ce sujet. Ce type de discussion est essentiel pour nous le peuple et nos élus à naviguer sur un chemin éclairé à travers le champ de mines de la désinformation politisée sur le changement climatique.

Le changement climatique se produit, mais ce n’est pas «la fin du monde». C’est juste un autre défi parmi beaucoup dans un avenir confronté aux pénuries d’eau, à la dépeuplement potentielle, à la malnutrition causée par la guerre, etc.

Une mauvaise allocation de notre temps, de notre capital monétaire et de notre capital intellectuel au moyen d’une prise de décision politisée dans la confrontation de ces divers défis pourrait être désastreuse.

Dennis Gimian, Irvine

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À l’éditeur: De Rugy mentionne le groupe de travail sur le climat qui a rédigé le rapport que le secrétaire au ministère de l’Énergie, Chris Wright, a commandé d’évaluer l’état actuel des sciences climatiques. D’une manière ou d’une autre, elle ne nomme pas les membres du groupe. Bien, Les voici: John Christy, Judith Curry, Steven Koonin, Ross McKitrick et Roy Spencer. Regardez-les et vous verrez qu’ils vivent dans le monde du déni du changement climatique. Compte tenu des personnes choisies pour le rapport, les résultats ne devraient surprendre personne. Le vrai mal que ce rapport fait est de semer un doute supplémentaire dans l’esprit du public, retardant ainsi des actions qui nous épargneraient des pires effets du changement climatique.

Charles Petithomme, Burbank

(Tagstotranslate) Changement climatique

À suivre