Les chevaliers de Peter Claver donnent aux lecteurs de l’espoir de changement positif

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À l’éditeur: Cette colonne («Dans le comté d’Orange, les hommes catholiques noirs ont leur propre club», “ 22 août) m’a donné du courage et de l’incitation à poursuivre le travail que j’ai poursuivi depuis plus de 30 ans – aider les jeunes de couleur à gagner des chances égales.

Bien que je sois blanc, mon héritage créole et latino-manche me motivait depuis longtemps à «même le terrain de jeu» pour les autres. En janvier 2022, j’ai été honoré de représenter ma famille Martinet lors de la cérémonie de pardon de Homer Plessy à la Nouvelle-Orléans, invitée par le gouverneur de la Louisiane. Mon arrière-arrière-monnaie, Louis A. Martinet, était l’avocat et le confident de Plessy. Ce moment m’a rappelé à quel point l’histoire de notre famille est liée à la lutte en cours pour la justice.

Pourtant, être une personne de couleur par le patrimoine mais pas par apparence peut être compliqué. Parfois, j’ai été rejeté par ceux que je veux aider – la semaine dernière, un passant m’a méprisé comme une «stupide personne blanche». De telles rencontres sont des rappels que les blessures du racisme sont profondes et que l’allié nécessite de l’humilité et de la persistance.

C’est pourquoi cette chronique m’a donné un tel espoir. L’acceptation de membres comme Gregory Herr, qui est blanc, et Gee Padilla, mon frère latino, dans les Chevaliers de Peter Claver est un signe puissant d’unité et d’inclusion. Leur exemple m’inspire à continuer de travailler, mais imparfaitement, pour un avenir plus juste et équitable pour tous.

Ken Martinet, Los Angeles
Cet écrivain est président et chef de la direction des grandes sœurs catholiques des grandes sœurs du comté de Los Angeles.

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À l’éditeur: Depuis des semaines, je parles les histoires douloureuses et négatives qui composent notre monde actuel. Mais le 22 août, il y avait une histoire pleine d’espoir sur les Chevaliers de Peter Claver. Ces hommes méritaient d’être reconnus, car notre monde est plein de corruption, de violence et de désespoir. Ils représentent vraiment l’amour agape que Jésus a prêché. Je prie pour que leur message continue de croître.

Joan Andersen, Apple Valley

À suivre