Le discours de l’ONU de Trump était «un embarras mondial» pour les États-Unis

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À l’éditeur: Le président n’aurait pas pu faire un meilleur travail pour représenter notre pays et sa direction de manière laide que dans la façon dont il s’est comporté lors de son discours à la convocation annuelle des Nations Unies («Trump appelle le changement climatique« le plus grand con tas de tous les temps »dans le discours combatif de l’ONU», “ 23 septembre).

Il n’y avait aucune diplomatie, déférence ou respect accordé à aucun représentant des nations assemblées. Le président Trump était alternativement en colère, belligérant, insultant, condescendant et vantard. Le message qu’il a livré pourrait être résumé comme «Amérique d’abord, dernier et toujours, et l’enfer avec vous tous». Si cela ressemble à une exagération, il a dit à l’ONU que «vos pays vont en enfer».

Son manque de respect et de dénigrement des innombrables individus qui reconnaissent la menace qui est posée au monde en raison de changements artificiels dans le climat était une honte, Trump faisant référence à ceux qui reconnaissent le défi comme des «gens stupides».

Quel embarras mondial pour les États-Unis.

Oren Spiegler, PETERS TOWNSHIP, PA.

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À l’éditeur: Dans son discours à l’Assemblée générale des Nations Unies, Trump a dépeint les accords climatiques comme un «concept mondialiste» qui oblige les nations réussies à «infliger de la douleur à eux-mêmes».

Ce cadrage est profondément trompeur. La vraie «douleur» vient de défaut Agir: incendies, inondations, pénuries alimentaires et répandus perturbation économique ne sont pas des risques abstraits, mais des réalités ont vécu qui empirer sans réduction des émissions.

Les accords internationaux, loin d’être des actes d’auto-punition, sont des actes de solidarité et de reconnaissance de la responsabilité commune. Les nations industrialisées, qui ont construit leur prospérité sur les combustibles fossiles, ont à la fois la capacité et l’obligation de diriger la transition.

Loin d’un fardeau, ce changement est une opportunité – les industries de l’énergie propre créent déjà des millions d’emplois, tout en préservant l’habitabilité pour les générations futures.

Le rejet de la coopération parce qu’il est «mondialiste» ignore la réalité que l’atmosphère n’a pas de frontières. Une politique de déni et d’isolement peut sembler provocante, mais elle nous laisse tous plus faibles face à cette crise partagée.

Terry Hansen, Milwaukee

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À l’éditeur: Quand je lis sur les gens qui nient le changement climatique, cela me fait me demander s’ils savent même ce que c’est. Je ne sais pas si notre président connaît la différence entre la météo et le climat. Je ne sais pas s’il pourrait même expliquer l’effet de serre.

Quoi qu’il en soit, l’idée que 8 milliards de personnes sur Terre n’affectent pas l’atmosphère de notre planète est ridicule. Le trou dans la couche d’ozone n’est qu’un bon exemple.

Chaque fois que je vois un déni comme celui-ci, je m’émerveille que nous ayons tellement de gens au pouvoir qui sont si sans instruction (ou délibérément ignorants) et ignoreront ce qui arrive à notre planète en raison du changement climatique.

Morris Scoggin, Ventura

(Tagstotranslate) Trump

À suivre