Amis à plumes – Une vie créative à la française

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Pendant la saison de la mue, qui vient de se terminer, le jardin des volailles est rempli de plumes, parfois comme une douce chute de neige pendant la nuit. Je les ramasse méticuleusement, de longues et fortes plumes de vol et de queue des oies, des plumes blanches pures des canards de Pékin et des plumes à jolis motifs et à pois de Bovril, notre pintade.

Les gingembres, le café, les crèmes caillées, les noirs d’ébène et les chamois proviennent des poules et des coqs, avec parfois une plume de queue de coq bouclée parmi eux.

On a presque l’impression de devoir les ramasser, tant il faut travailler dur pour les faire pousser, les lisser et les faire repousser quand elles tombent. C’est épuisant et pendant ces périodes, elles ont un supplément de calcium. Les plumes en épingle à cheveux telles qu’elles apparaissent sont douloureuses si on les touche, il faut quelques semaines pour que la plume pousse vers le haut et que les piquants durcissent. D’ici là, elles peuvent saigner et les poules, en particulier, sont un peu grincheuses avec tout ce processus. Pour moi, elles sont précieuses, des souvenirs, des souvenirs et pour mes œuvres d’art.

Je les garde dans des boîtes et des boîtes en fer blanc, en sécurité et au sec. Je ramasse le reste de minuscules plumes de duvet avec les feuilles d’automne qui tombent maintenant et je les ajoute au compost. Les plumes organiques retournent à la terre et ainsi le cycle continue.

À suivre