Lorsque les gouvernements en Amérique du Nord, en Europe et ailleurs ont introduit des interdictions de fumer dans des pubs, des restaurants et des lieux de travail, la justification était claire. La fumée d’occasion a été nocive pour le personnel et les passants. Ceux qui plaident pour une interdiction ont déclaré à plusieurs reprises que le piétinement des droits de propriété et la suppression des libertés ne visaient pas à contrôler les choix de style de vie individuels, mais à protéger les autres contre une exposition involontaire.
La vérité devient évidente; L’argument de la santé n’était qu’une excuse pratique. Les dernières propositions dans de nombreuses juridictions différentes pour interdire le vapotage et l’utilisation des pochettes de nicotine dans les espaces publics révèlent que le véritable objectif a toujours été de harceler et de stigmatiser les utilisateurs de nicotine, que leurs choix présentent un risque pour quiconque.
Avec des cigarettes combustibles, le cas de certaines restrictions dans les espaces publics fermés repose sur des preuves de préjudice de la fumée secondaire. On peut contester la proportionnalité de ces interdictions, mais au moins la justification était cohérente. Avec le vapotage, ce cas n’existe pas. La vapeur ne présente pas de risque important pour la santé pour les passants. Pourtant, les gouvernements et les responsables de la santé publique se précipitent pour imposer les mêmes restrictions, ou même plus strictes.
Par exemple, 14 États américains ont interdit le vapotage dans les lieux publics, bien qu’il n’y ait pas de justification de santé valide pour la mesure.
Pire encore, l’Espagne se déplace maintenant pour interdire l’utilisation des pochettes de nicotine dans les espaces publics extérieurs. Les sachets de nicotine ne produisent pas de fumée ni de vapeur. Ils n’émettent rien. Il n’y a aucun mécanisme concevable par lequel ils pourraient nuire aux passants. Les assimiler au tabac combustible est scientifiquement absurde. Il est axé sur les politiques, non basé sur des preuves mais plutôt sur la panique morale et le puritanisme.
La vapeur de cigarette électronique n’est pas de la fumée de cigarette. Les deux substances sont des mondes séparés, chimiquement et physiquement. La fumée de cigarette est créée par la combustion, libérant des milliers de toxines, dont des dizaines de cancérogènes connus. Il provient de la pointe brûlante de la cigarette (fumée latérale) et de l’expiration du fumeur. La vapeur, en revanche, est générée en chauffant un liquide contenant de la nicotine dans un aérosol. La majeure partie est absorbée par l’utilisateur, avec seulement une petite fraction expirée. Il n’y a pas d’équivalent à la fumée latérale.
Les études montrent systématiquement que les niveaux de produits chimiques nocifs dans la vapeur expirée ne sont pas détectables ou bien en dessous des seuils de sécurité au travail. La nicotine est relativement bénigne et en exposition d’occasion, elle n’atteint aucune signification. C’est pourquoi Public Health England, Cancer Research UK et le Royal College of Physicians ont tous déclaré que le vapotage est au moins 95% moins nocif que le tabagisme et que ses émissions sont négligeables.
Les gouvernements n’ont pas le droit légitime d’interdire l’utilisation de produits qui ne posent aucun risque pour les autres ou l’environnement. Les propriétaires ont déjà le pouvoir de fixer des règles dans leurs propres établissements. Un pub ou un café peut décider de permettre le vapotage comme il peut choisir d’autoriser les animaux de compagnie ou les landaus. Lorsque l’État criminalise le comportement inoffensif dans tous les espaces publics, il dépasse son autorité. La force de la loi doit être réservée à la protection des personnes contre les dommages matériels réels, et non pour appliquer le snobisme des responsables de la santé qui n’aiment pas les habitudes des autres.
Le masque glisse. Si les interdictions de fumer visaient vraiment à protéger la santé des passants, alors la montée des sachets de vapotage et de nicotine (beaucoup autorisés par la Food and Drug Administration, selon la protection de la santé publique) devrait être un triomphe. Ils suppriment la justification même des interdictions en premier lieu. Plutôt que de célébrer, les prohibitionnistes exigent plus de restrictions, plus de pénalités, plus de stigmatisation.
Il devient impossible d’échapper à la conclusion que les interdictions de tabagisme ne concernaient jamais la santé. Ils étaient au sujet du contrôle et de la poussée des fumeurs aux marges de la société. Maintenant, le même appareil de harcèlement est ciblé envers quiconque ose utiliser de la nicotine sous quelque forme que ce soit.
Cet autoritarisme rampant trahit les principes que la santé publique prétend défendre. Au lieu d’une politique fondée sur des preuves, l’idéologie égoïste est vue par tous. La punition pour elle-même est désormais considérée comme acceptable. La compassion pour les personnes essayant d’éviter les énormes risques de tabagisme a été abandonnée en faveur du mépris pour leurs choix.
Pire encore, cette obsession pour la police d’alternatives inoffensives risque de ramener les gens au tabagisme. Ce n’est pas la santé publique; C’est un préjudice public.
Les interdictions proposées sur les pochettes de vapotage et de nicotine exposent la mensonge originale du contrôle du tabac. Les interdictions de fumer n’ont jamais été destinées à protéger les autres contre les dommages causés par le tabagisme. Ils visaient à cibler les utilisateurs, à commander un changement de comportement et à appliquer l’obéissance. En étendant ces interdictions aux produits qui ne présentent aucun risque pour les passants, les gouvernements révèlent que le motif réel a toujours été le harcèlement.
Le public mérite mieux. La politique doit être enracinée en preuve, et non sur les préjugés arrogants. En outre, les citoyens respectueux des lois ne devraient pas être soumis à des agressions méprisables contre leur liberté par des bureaucrates de santé inexplicables.
Martin Cullip est membre du Centre de consommation / insideources des contribuables
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