À l’éditeur: J’aurais aimé voir Mitchell Landsberg et Gale Holland en écrire plus sur la proposition 13 comme facteur dans la crise du logement de notre ville («La vraie histoire de la façon dont LA est devenu l’épicentre de la crise des sans-abri américaine», 10 juillet). Il ne reçoit que l’attention d’un paragraphe et n’est pas faute que des gouvernements locaux de fonds affamés pour faire face à l’itinérance. En fait, la conséquence la plus grave de la proposition 13 a été de subventionner les propriétaires, ce qui leur permet de s’accrocher si chèrement à leurs avoirs qu’ils déforment le marché en leur faveur. En détenant une valeur évaluée à des fins fiscales à proximité du prix au moment de l’achat, la proposition 13 a désincivise les propriétaires de longue date à vendre, ce qui limite perpétuellement les stocks sur le sou du public.
La crise du logement est fondamentalement tirée par les prix de l’immobilier élevé, et il n’y a aucune solution qui n’implique pas la valeur des propriétés précieuses des propriétaires. L’abrogation de la proposition 13 en faveur d’une forte taxe sur la valeur actuelle des terres, de préférence avec des améliorations exemptées, est le moyen le plus efficace pour une telle fin. Si nous ne sommes pas disposés à débarquer le marché immobilier de la Californie, nous ne sommes pas disposés à résoudre le problème.
Michael Raley, Los Angeles
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