À l’attention de l’éditeur : Anita Chabria le dit dans sa chronique : «Au revoir, Joe. Merci de préserver la démocratie.”
Qui n’aurait pas remarqué la différence flagrante entre les messages de l’ancien président à la convention républicaine et ceux du président actuel à la convention démocrate ?
L’un était sombre, pessimiste et menaçant. L’autre était lumineux, optimiste et encourageant.
L’un d’eux, avec un dédain hypocrite et un drapeau à la main, a décrit une Amérique en ruine, une nation à craindre. L’autre, avec un véritable dévouement patriotique, a parlé de l’Amérique comme d’un phare, d’une nation à aimer.
L’un leva le poing en signe de colère, l’autre tendit la main en guise de bienvenue.
L’un a insisté pour que toute l’attention soit portée sur lui. L’autre a joyeusement passé le flambeau à son successeur.
Chacun d’eux a clairement exposé la vision de son parti pour l’avenir de notre démocratie. Les électeurs auront l’occasion en novembre de décider quel parti correspond à la leur.
Stephen Gladstone, Shaker Heights, Ohio
..
À l’attention de l’éditeur : Chabria a écrit lundi ce qu’elle a retenu du chant du cygne de Biden c’était que « malgré tous ses défauts… c’est un homme de devoir et d’honneur ».
Je continue de considérer le 46e président comme un homme caractérisé par son entêtement, comme Chabria l’a initialement noté, et son arrogance.
Je suis tout à fait d’accord avec la deuxième partie de la chronique de Chabria-Mark Z. Barabak selon laquelle les « adieux » ne peuvent pas arriver assez tôt, vu comment Biden a fait subir à son parti plus de trois semaines de misère après sa débâcle du débat du 27 juin avant de décider de « passer le flambeau ».
Biden aurait dû être le « pont » vers une nouvelle génération de dirigeants, comme il l’avait suggéré en mars 2020. C’est ainsi que je me souviendrai de lui.
Irvin Dawid, Burlingame, Californie.
..
À l’attention de l’éditeur : Le rédacteur en chef qui a travaillé sur l’échange entre Chabria et Barabak aurait dû supprimer la phrase de Barabak « à 81 ans », car elle est discriminatoire. Tout ce qui se passe avec la cognition ou le corps de Biden se passe avec Biden cognition ou corps.
Le sénateur Bernie Sanders a 82 ans et il était en feu lors de son discours à la convention. Je pense que Sanders, la représentante Maxine Waters (86 ans) et l’ancienne présidente de la Chambre Nancy Pelosi (84 ans) auraient tous pu écraser l’ancien président Trump lors d’un débat et remporter une élection contre lui.
Il est discriminatoire de la part du LA Times de publier des articles qui associent les défauts de Biden directement à son âge. De nombreux citoyens américains de plus de 80 ans apportent une contribution significative à leur famille, à leur ville, à leur État et à cette nation. Des commentaires comme celui de Barabak mettent en doute la valeur de ces précieux citoyens.
Adreana Langston, Long Beach
..
À l’attention de l’éditeur : Oubliant la politique, ce qui m’a frappé en écoutant le discours de Biden, c’est que peu importe que la vice-présidente Kamala Harris gagne ou non, Biden restera dans l’histoire comme un homme d’une grande intégrité, d’une grande compassion et d’une grande foi. Il a consacré sa vie au service public.
Son adversaire de 2020, cependant, restera dans l’histoire comme un criminel condamné et un menteur égoïste qui a séduit le Parti républicain pour échanger la moralité contre le pouvoir et de fausses promesses.
Sylvia Martin, Studio City