Le Hamas revient des restes de la famille Bibas en Israël

Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on email

Malgré les accusations des deux côtés de violations de cessez-le-feu, l’accord fragile qui est entré en vigueur le 19 janvier s’est levé depuis le premier d’une série d’échanges d’otages à Gaza pour les prisonniers palestiniens et les détenus détenus par Israël.

Chargement

Netanyahu a fait face à des critiques d’alliés de la Coalition d’extrême droite pour avoir accepté l’accord, que certains en Israël ressentent des récompenses du Hamas et laissent le groupe militant en place à Gaza.

Mais les enquêtes successives ont montré un large soutien parmi le public pour le cessez-le-feu, et des milliers d’Israéliens se sont rendus dans les rues pour exiger que le gouvernement s’amuse à l’accord jusqu’à ce que tous les otages restants soient retournés.

Israël a lancé sa guerre dans la bande de Gaza après l’attaque dirigée par le Hamas qui a tué quelque 1200 personnes, selon des décomptes israéliens, avec 251 kidnappés. La campagne militaire israélienne a tué quelque 48 000 personnes, selon les autorités sanitaires palestiniennes, et a laissé Gaza densément peuplé en grande partie en ruine.

Chargement

Otages vivants

Le transfert de corps de jeudi sera suivi par le retour de six otages vivants samedi, en échange de centaines d’autres Palestiniens, qui devraient être des femmes et des mineurs détenus par les forces israéliennes à Gaza pendant la guerre.

En vertu de l’accord de cessez-le-feu, le Hamas a accepté de libérer 33 otages en échange de près de 2000 prisonniers et détenus palestiniens dans la première phase d’un accord destiné à ouvrir la voie à la fin de la guerre à Gaza.

Jusqu’à présent, 19 otages vivant israéliens ont été libérés, ainsi que cinq Thaïlandais qui ont été retournés dans un transfert imprévu.

Les négociations pour une deuxième phase, censée couvrir le retour d’environ 60 otages restants, dont moins de la moitié seraient en vie, et un retrait complet des troupes israéliennes de la bande de Gaza pour permettre la fin de la guerre, Commencez dans les prochains jours.

Les perspectives d’un accord restent incertaines, les deux parties éloignées de questions, y compris la future gouvernance de Gaza, qui, selon Israël, ne peut être gérée par le Hamas ni l’autorité palestinienne à dos occidental.

Le problème a également été assombri par l’appel du président américain Donald Trump pour que les Palestiniens soient réinstallés en dehors de Gaza, un déménagement que les critiques disent qu’un crime de guerre et un nettoyage ethnique, et pour que l’enclave soit développé en tant que propriété au bord de l’eau sous contrôle américain.

Reuters

À suivre