Le Premier ministre japonais Fumio Kishida, au pouvoir depuis octobre 2021, a annoncé mercredi qu’il ne se représenterait pas à la tête de son parti en septembre, marquant ainsi la fin de son mandat. Kishida et le Parti libéral-démocrate ont vu leur cote de popularité chuter en raison de l’effet de l’inflation sur les revenus des Japonais.