Les partisans d’Israël sont du bon côté de l’histoire

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Il y a presque un an, Israël était attaqué. Des terroristes meurtriers avaient profané des communautés israéliennes, bombardé et envahi l’État juif. Tant d’hommes, de femmes et d’enfants innocents ont été tués de sang-froid sur leur propre sol. Et beaucoup d’autres ont été emmenés en otages.

Nous étions abasourdis, mais ce fut aussi un moment de lucidité et de détermination.

Nous savions que l’Amérique devait cesser d’envoyer des lettres d’amour et des virements électroniques aux partisans du terrorisme à Téhéran. Nous savions que les Républicains devaient s’unir et mettre un terme à l’échec de cette administration Biden-Harris qui ne fait que parler publiquement de l’État d’Israël tout en le sapant à huis clos.

Nous étions également confrontés à un problème plus profond que l’échec des politiques publiques. Dans les rues de nos villes, sur nos campus universitaires, nous avons pu constater à quel point l’antisémitisme s’était répandu dans nos institutions.

Et nous avons décidé d’éliminer ce cancer.

Il y a un an, j’ai adressé quelques rappels aux sympathisants terroristes.

Obtenir une subvention fédérale pour vos études n’est pas un droit. C’est un privilège. Obtenir un visa étudiant pour pouvoir être l’invité d’honneur dans notre pays n’est pas un droit. C’est un privilège.

Parlons de ce qu’est un droit : le droit des juifs américains à se promener dans leur propre quartier en toute sécurité. Le droit des étudiants juifs à étudier et à pratiquer leur religion en paix.

Il s’avère que beaucoup de choses peuvent changer en un an.

Les Américains soutiennent massivement Israël contre le Hamas. Nous sommes du bon côté de l’histoire. Et nous sommes en marche.

Mais il y a un problème.

Joe Biden a été un partenaire faible et déloyal pour nos amis d’Israël. Il a pris son temps. Il a tergiversé sur la scène internationale. Il a enhardi les ennemis d’Israël et s’est immiscé dans la politique israélienne.

Mais malgré cela, la gauche radicale pensait que le président Biden était trop pro-israélien.

Tous ces mêmes gens semblaient ravis quand Joe Biden a été poussé hors de la scène pour le couronnement de Kamala Harris. Elle fait semblant de sprinter vers le milieu.

Le Parti démocrate et les médias d’entreprise travaillent sans relâche pour rebaptiser cette libérale radicale de San Francisco en une sorte de centriste. Elle s’est présentée à la présidence en défendant les réparations raciales, la médecine socialisée et l’ouverture des frontières. Et maintenant, ces gens veulent nous faire croire qu’elle se situe quelque part entre Bill Clinton et Barry Goldwater.

Je connais Kamala Harris. J’ai siégé au Sénat avec elle. Je l’ai vue en action. Elle va faire semblant d’être modérée pendant les neuf prochaines semaines. Et les médias vont faire tout leur possible pour l’aider.

Mais le jour de l’investiture, ce masque de modération tomberait immédiatement.

L’échec de la politique étrangère de Joe Biden que nous voyons aujourd’hui – avec une Amérique faible, un Iran enhardi, des guerres terrestres en Israël et en Europe, et des terroristes en marche – serait le meilleur scénario possible sous la présidence Harris.

Il y a une raison pour laquelle les radicaux, les socialistes et les antisémites ont fait sauter le bouchon du champagne lorsque les démocrates ont couronné Kamala Harris.

Les enjeux pour l’Amérique et pour Israël sont encore plus importants aujourd’hui qu’il y a deux mois. Nous avons neuf semaines pour poursuivre sur notre lancée et continuer à consolider nos succès là où cela compte le plus.

Tim Scott est un républicain représentant la Caroline du Sud au Sénat américain/InsideSources

À suivre