Les vacances peuvent être une période douloureuse pour les alcooliques et leurs familles

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A l’éditeur : Merci à Paul Thornton pour un récit honnête et direct de sa guérison de l’alcoolisme. Cela doit être un réconfort pour ceux qui ont parcouru le même chemin vers la sobriété. («“Il est 17 heures quelque part” n’est pas une blague si vous avez vu les conséquences de l’alcool“, Avis, 30 novembre)

Malheureusement, mon fils n’avait pas la même détermination ni la même endurance et a succombé à la maladie à 52 ans, n’étant plus le chef de nos dîners familiaux de Thanksgiving et de Noël. Il nous manque beaucoup.

Bénédictions à toutes les familles en cette période des fêtes qui célébreront les relations et soutiendront les membres qui ont réussi ou ont du mal à surmonter leur dépendance.

Lenore Navarro Dowling, Los Angeles

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A l’éditeur : À cette période de l’année, lors de ma réunion de groupe hebdomadaire en 12 étapes, nous mettons en garde contre le « Triangle des Bermudes » – ce trio de vacances, Thanksgiving, Noël et Nouvel An.

Les vacances peuvent être une période stressante, même pour les « normes », ou pour les personnes qui peuvent boire ou consommer sans devenir dépendantes. Beaucoup se souviennent des vacances passées qu’ils ont gâchées à cause de leur alcoolisme, des vacances qu’ils ont passées seuls ou de celles où ils ont bu pour s’intégrer et se sentir acceptés.

Je célébrerai 10 ans de rétablissement le 7 janvier et je suis assez confiant dans ma capacité et mon désir de rester sobre. Mais, pour tous les nouveaux arrivants et les personnes en difficulté à cette période de l’année, allez à une réunion, rendez service à quelqu’un et soyez reconnaissant d’être sobre aujourd’hui.

Kathy Hicker, Los Angeles

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A l’éditeur : En 37 ans d’abstinence, ayant grandi dans une famille en proie à l’alcoolisme, je n’ai pratiquement jamais été interrogé par des frères, des sœurs ou d’autres membres de ma famille au sujet de ma consommation d’alcool ou de la manière dont cela m’affectait.

Première règle dans les familles alcooliques : ne parlez pas. Votre travail consiste à garder le secret.

Jean Médicis, Burbank

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A l’éditeur : L’article de Thornton démontre parfaitement comment la consommation d’alcool imprègne notre culture. Il faudrait des statistiques pour démontrer la prévalence des décès et des invalidités dus à l’alcool.

L’Institut national sur l’abus d’alcool et l’alcoolisme estime que 178 000 Américains meurent chaque année à cause d’une consommation excessive d’alcool. En comparaison, les décès par surdose d’opiacés ont été élevés, mais sont restés inférieurs à 100 000 ces dernières années.

Je suppose que pratiquement tous vos lecteurs sont touchés par ces abus.

Dennis Noesen, San Pedro

À suivre