Lettres à l’éditeur: les investisseurs des services publics, pas les contribuables, devraient couvrir les efforts pour atténuer le risque de feu

Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on email

À l’éditeur: La colonne de Sammy Roth est en détail détaillant les problèmes d’augmentation de taux pour les mises à niveau nécessaires au réseau électrique (“Les incendies de forêt conduisent les factures d’électricité en Californie. Les législateurs doivent agir», 20 mars). Cependant, la question de savoir qui devrait payer évitement la seule partie qui devrait être tout en haut de cette liste: les actionnaires de ces sociétés appartenant à des investisseurs. Il mentionne que certaines des augmentations de taux passées incluent un bénéfice de 10% pour leurs investisseurs, mais ne les incluent jamais dans la discussion de qui devrait payer.

Ces investisseurs profitent de la négligence de ces sociétés depuis des décennies et continuent de profiter de nouvelles augmentations de taux qui ont de nouveaux bénéfices cuits, selon Roth. Il raconte comment la douleur devrait être ressentie par tous les contribuables qui bénéficient d’une réduction des risques d’incendie mais négligent les personnes qui profitent d’augmentation des taux. Il me semble que la douleur doit d’abord être partagée avec eux.

Robert Rosenblum, Woodland Hills

..

À l’éditeur: Il ne faut pas lire plus loin dans la colonne de Roth pour trouver la réponse au contrôle des coûts de l’électricité. Selon sa chronique, Burying Lines est «un moyen infaillible mais cher d’éviter les allumages par temps sec et venteux». Une fois cet investissement réalisé, la question des incendies lancée par un équipement défectueux serait un point discutable. Des services publics comme le sud de la Californie Edison devraient suspendre les paiements des actionnaires jusqu’à ce que leurs lignes soient enterrées afin que leurs clients soient enfin sauvés des dommages collatéraux importants causés par leurs arrêts de puissance de sécurité publique, des dommages que SCE refuse de reconnaître, et encore moins pour rembourser les clients pour leurs pertes.

Bill Waxman, Simi Valley

À suivre