Liaisons volatiles, un resserrement de confiance et la BCE se réunit

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Deux types d’histoire ont dominé le bavardage dans la salle de rédaction cette semaine.

Le favori des coolorants? Les bouffonneries des PDG de haut niveau, avec le Départ du patron de Nestlé sur une affaire non divulguée avec un subordonné et la démission du PDG de Suntory sur le Achat possible de substances illégales Les deux provoquent des émous dans les salles de rédaction de Londres et de Singapour.

Mais ce qui a gardé les bureaux les plus fréquentés, c’est la volatilité du marché obligataire, qui pourrait bien se répandre la semaine prochaine. Au cours des derniers jours, nous avons eu une série d’invités partageant leur point de vue sur certaines des mouvements de rendement les plus importants observés sur le marché britannique doré et à travers l’Europe depuis des décennies.

Presque une «tempête parfaite» frappant le marché obligataire, explique l'économiste

Et plus pourrait être à venir la semaine prochaine…

Confiance ou pas de confiance, c’est la question

À l’épicentre de l’incertitude européenne des obligations, la France se trouve la France.

Lundi, il y aura un vote de confiance dans le gouvernement, appelé par le Premier ministre François Bayrou – et le parti au pouvoir est presque certain de perdre.

Photo de Cuellar | Flickr | Images getty

Les rivaux de la France Insoumise, le rallye national et le Parti socialiste ont tous affirmé qu’ils voteraient contre le gouvernement. Cela soulève la perspective que le président Emmanuel Macron appelle une élection anticipée, bien qu’il soit plus probable qu’il cherchera à attribuer un autre gouvernement de gardien centriste.

Dans un sondage de paille des clients, Nomura a constaté que les rendements des obligations gouvernementales françaises – ou de l’avoine – devraient se déplacer encore plus radicalement pour provoquer une “perte majeure de confiance des investisseurs internationaux”. Dans une note, la banque a souligné la prochaine révision de la note de la dette souveraine de France par Fitch, qui devrait avoir lieu le 12 septembre, comme date clé à surveiller.

Le drapeau français est suspendu au-dessus du tombeau du soldat inconnu de l'Arc de Triomphe à Paris le 8 mai 2015, lors d'une cérémonie pour marquer 70 ans depuis la victoire sur l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale.

L’Italie était le mauvais garçon d’Europe. Maintenant, la France prend le bâton

La BCE pour rester «délibérément non informative»

Un autre point d’inflexion cette semaine se fera lorsque la BCE se réunira jeudi au milieu de la volatilité accrue du marché.

La banque centrale devrait maintenir les taux en attente à 2%, le HSBC prédisant que la présidente Christine Lagarde maintiendra un “biais dominant”. La BCE elle-même a souligné la nécessité de rester “délibérément non informative sur les décisions futures des taux d’intérêt” dans son compte de juillet de sa réunion politique.

Les observateurs du marché s’attendent à ce que Lagarde soit interrogée sur l’incertitude en France lors de sa conférence de presse, mais les économistes prédisent qu’elle évitera de répondre directement.

Données économiques:

Lundi: données commerciales allemandes

Mardi: données de production industrielle française

Jeudi: données d’inflation américaines

Vendredi: données sur l’inflation allemande, données du PIB du Royaume-Uni

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À suivre