A l’éditeur : Je lis la chronique de Steve Lopez depuis de nombreuses années. Je suis déçu qu’il envisage même de quitter le pays simplement parce que son parti a perdu les élections. («Le retour de Trump pourrait devenir un cauchemar californien grandissant. Mais quitter les États-Unis ? Pas besoin», chronique du 6 novembre)
Flash info, M. Lopez : Vivre en Californie ou dans tout autre État qui a voté pour la vice-présidente Kamala Harris ne vous exemptera pas des lois fédérales. Je pense que je laisserai de côté sa chronique à l’avenir.
Carol Lindsey, Camarillo
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A l’éditeur : Nos meilleurs anges nous ont abandonnés et la ville brillante sur la colline a été ternie.
Le président élu Trump a eu une chance de se racheter. Après avoir qualifié l’Amérique de « poubelle », il a l’opportunité de sortir les « poubelles » et de restaurer notre position dans le monde en tant que ville sur la colline.
Mais ce n’est pas désespéré s’il échoue. Les partisans d’Andrew Jackson ont saccagé la Maison Blanche après son investiture, et nous avons survécu. Nous avons survécu aux présidences d’Andrew Johnson, Warren Harding et Herbert Hoover, et nous survivrons à celle du n°47.
La survie de la république est toujours entre les mains du peuple et je pense que nous sommes à la hauteur du défi.
Juin Thompson, Los Angeles
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A l’éditeur : Allez, Steve Lopez. Je reste ici aussi.
Je résisterai jusqu’à mes derniers tissus musculaires et cellules cérébrales à toute tentative de prise de contrôle de la Californie par les Trumpistes. Nous allons le contourner, le dépasser et le placer sous lui pour atteindre notre objectif de préserver ce bel État et sa politique.
Chet Chebegia, San Marcos