Trump vérifie-t-il réellement ses candidats au Cabinet ?

Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on email

A l’éditeur : La nomination de l’ancien représentant Tulsi Gabbard pour superviser les 18 agences de renseignement du pays est typique de l’approche nonchalante du président élu Donald Trump en matière de gouvernement. («Tulsi Gabbard, tsar du renseignement ? Le choix du cabinet Trump est le plus susceptible d’échouer», chronique du 2 décembre)

Quelques nominés ont déjà tiré leur révérence. L’ancien représentant Matt Gaetz, nommé procureur général, et Chad Chronister, choisi pour diriger la Drug Enforcement Administration, se sont retirés. Un certain nombre d’autres candidats controversés pourraient emboîter le pas ou ne pas réussir à obtenir la confirmation en raison de leur manque de qualifications et de leur conduite personnelle.

Trump ne fait pas beaucoup d’efforts pour examiner ses candidats, laissant aux médias le soin de faire leur travail.

Domenico Maceri, San Luis Obispo

..

A l’éditeur : Trump a remporté une victoire décisive sur la vice-présidente Kamala Harris, malgré le fait que le complexe démocrate et médiatique ait jeté tout ce qu’il avait contre lui.

Sa marge de victoire rend indiscutable sa marge de manœuvre pour procéder à des nominations tendancieuses à des postes sensibles. Le Sénat, bien entendu, doit enfiler son pantalon de grand garçon et confirmer ses choix.

Gabbard, Kash Patel (FBI) et Pete Hegseth (Défense) auront l’occasion d’argumenter sur la pertinence de leurs nominations. L’autre côté aussi.

Paul Bloustein, Cincinnati

..

A l’éditeur : Si je ne le savais pas mieux, je penserais qu’un nouveau scénario brillant issu d’un sketch du journal “Saturday Night Live” a été d’une manière ou d’une autre remplacé par le véritable plan de transition présidentielle de Trump.

Je pourrais alors rire de manière incontrôlable des sélections proposées au Cabinet au lieu de grincer des dents de peur et de consternation pour notre grand pays.

Je suppose que tu ne peux vraiment pas inventer ce truc.

Cindy Baker, Simi Valley

À suivre