Un autre bel navire de croisière «Interdire» de la ville balnéaire européenne | Monde | Nouvelles

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Une destination touristique très appréciée sur le continent devrait devenir la dernière pour limiter la taille et le nombre de navires de croisière qui peuvent entrer dans son port.

À partir du 1er juillet, le nombre maximum de passagers par navire devrait être réduit à 2 500 passagers à Villefranche-sur-Mer, situé dans la ville populaire de la Riviera françaiseet seuls les expédiés avec moins de 450 passagers seront autorisés à accoster dans le port de Nice.

Christian Estrosi, maire de Nice et président de la Nice Côte d’Azur Metropolis, Estrosi a récemment révisé sa position sur le interdire Cela a initialement restreint des navires de croisière avec plus de 900 passagers, ce qui augmente la limite à 2 500. Bien qu’il revienne sur l’interdiction, les pertes financières de ces restrictions devraient être considérables.

Selon un récent rapport de la Chambre de commerce et d’industrie, Villefranche-Sur-Mer devrait perdre 6,3 millions de livres sterling tandis que Nice verrait un déficit d’environ 545 280 £ cette année. En 2026, l’impact devrait s’approfondir.

Villefranche-sur-Mer pourrait subir une perte de revenus de 11,8 millions de livres sterling, à l’exclusion des pertes supplémentaires liées à l’activité économique locale.

Cela représente une baisse de 75% du nombre de vacanciers.

Pour Nice, le déficit devrait atteindre 847,8 £ en 2026, en raison d’une baisse de 24% des visiteurs des navires de croisière.

Dans une déclaration récente, la métropole de NICE a déclaré que le rapport ne prenait pas en compte une étude récente d’Amosud, l’organisation de surveillance de la qualité de l’air.

L’étude a révélé que le trafic maritime représente 3% des émissions problématiques de NOX (oxydes d’azote), qui sont nocives pour la santé humaine et à Villefranche, ce chiffre passe à 71%.

L’étude a révélé une augmentation de 25% de cette pollution de 2015 à 2023.

Christian Estrosi, président de la Metropolis, soutient que cette préoccupation environnementale l’emporte sur les gains économiques, qui, selon lui, est minime pour les secteurs comme l’hospitalité et a souligné que le tourisme de croisière ne représente que 4% du trafic touristique annuel, ce qui en fait un contributeur “marginal”, Belle presse rapporté.

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