Adele Koue SungbeU, une sage-femme de 45 ans de la Côte d’Ivoire, fait partie de 28 femmes qui ont récemment subi une chirurgie reconstructive pour réparer les effets de la mutilation génitale féminine (MGF). La procédure, effectuée dans un hôpital public d’Abidjan, fait partie d’une initiative révolutionnaire visant à offrir des chirurgies gratuites aux victimes de MGF, pour aider à guérir les cicatrices physiques et psychologiques.
