1925-2025: Célébration 100 ans Fondation paroissiale Sensidor à Lagonav (1/2)

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Idson Saint-Fleur *

L’année 2025 est une année spéciale dans l’histoire des chrétiens catholiques sur l’île de Lagonav. Cela fait 100 ans que Mgr Julien Mathurin Conan a décidé de faire de Lagagonav un service à Port -AU-Prince. Ce fut une décision catholique fidèle pendant un certain temps. À de nombreuses reprises, ils ont toujours souhaité avoir une crainte présente parmi eux, afin de consolider leur foi et de renforcer les pratiques catholiques. Suite à de nombreuses hésitations liées principalement aux conditions de vie difficiles de l’île, l’archevêque Port -AU-Prince, a finalement fait du lagonav du niveau de la station à la chapelle à venir.

  1. Comment était-ce avant?

En 1925, certaines personnes sur le Granque qui se sont rendues à Lagonav étaient toujours considérées comme l’île comme un pays où la majorité des habitants sont des baptistes protestants. C’était une grande perception de la mère. En fait, au cours de cette période, l’Église baptiste sous la direction du pasteur américain noir Boaz Alexander Harris s’est engagée dans une grande campagne d’évangélisation qui a conduit à la création d’environ des dizaines de stations qui dépendaient des positions géographiques de trois Paul régional: Masikren, Grandand et Tip. De plus, Baptis Church a placé des écoles dans les stations, ouvrant le premier dispensaire sur l’île et offrant à la population d’autres avantages.

À ce moment-là, l’Église catholique ne pouvait pas vraiment le prendre. Les groupes fidèles étaient encore petits. Pourtant, la racine de l’Église a commencé à entrer dans le sol depuis le début du XIXe siècle dernier. Entre-temps, le développement rapide de l’Église baptiste qui a valu à l’île dans ses quatre points de points a presque forcé l’Église catholique à secouer.

Les activités zélées protestantes n’ont pas non plus étouffé le vaudou. Parmi les premiers habitants de la saison de l’île, il y avait aussi du vaudou. Certains étaient la liberté vaudou, d’autres pratiquaient secrètement. Mais dans un cas comme dans un autre, depuis le temps de servir les lois, le plus souvent s’est croisé au grand pour y aller. Bien que certains d’entre eux se soient toujours considérés comme un chrétien catholique fort.

En 1887, une paire de Missionnaire de Breton, Senjak, Louis Marie Guilloux a fait un lagonav. Il est allé visiter cette station qui n’avait pas de chapelle mais dépendait du quartier Arcahaie. Après 4 ans, il avait déjà dépassé cette paroisse, le père Guilloux est allé à Lagonav. La paire est décédée en 1889 et n’a plus eu le temps de retourner sur l’île.

En 1893, la peur de Julien Le Theis, l’administrateur de la paroisse Arcahaie a fait une visite. La même année, les autorités religieuses ont placé cette station sur la protection de la sentineille.

En 1889, après la mort de Guilloux, Monssignor Constant-Mathurin Hillion, archevêque Port-au-Prince, a jumelé Jean-Baptiste François Primet comme la nouvelle paroisse de Kinming à Arcahaie. Primet Paires a effectué plusieurs visites sur l’île. Il a la réputation de pasteur qui a travaillé en conséquence, au cours de cette première période, pour consolider la présence de l’Église catholique à la fin de cette terre.

En 1903, la “Station Lagonav” sous la protection de la sentinecte est devenue la “Station Ansagalis” de la paroisse placée sous la protection du Sentisidor, qui est l’employeur paysan. La même année, les responsables de l’église d’Arcahaie ont créé trois autres stations. Les stations de protection de Sentan, les stations de protection sengalisés et les stations de pourboire sont sur la couverture Senlwi. Comme les stations n’avaient pas de chapelle, elle était devant la maison d’une foi plus dévouée ou sur le grand chemin qu’ils chantaient. Ensuite, les fidèles les ont emmenés chanter des agneaux sous la paille de noix de coco.

C’est la station Ansagalis, d’abord, qui aura une chapelle. Une construction conforme à l’architecture rurale à l’époque. Une maison Clise est couverte de paille mais a pris, chaque année, de grandes chauves-souris sous l’ouragan ou la Vall. Parfois, ces shorts savent si violent est le seul pilier de la chapelle. Ainsi, les fidèles ont parfois été reconstruits.

La station Granvid sur la protection de Sentendre a commencé à fonctionner en 1907 tandis que la station en difficulté sur la protection du Sengenf a commencé ses activités en 1917 dix ans plus tard, en 1927, Picmi Station (côte) et la station Gramang ont commencé à travailler.

  1. Sentisidor paroissial de Lagonav

En novembre 1925, plus d’un an après que le président Louis Borno a signé une loi pour faire de Lagagonav Commune, les autorités de l’archidiocèse de Port -au-Prince soulevées dans le rang paroissial. En fait, la “Station Ansagalis” a été promue. Allain Euzen, crainte de Breton, missionnaire Senjak, aura la responsabilité d’administrer cette nouvelle paroisse.

Ce record pouvait être compris que depuis le premier XXe siècle, l’archidiocèse de Port -au-Prince analysait la possibilité de cette fondation paroissiale, mais la Première Guerre mondiale avait pour de nombreux français religieux à retourner dans leur pays, mélangé à la difficulté de bien vivre sur l’île. Beaucoup craignent que Lagagonav soit un pays perdu où les habitants mènent la vie.

  1. Qui était effrayant d’Euzen?

Allain Euzen, le fondateur de la paroisse de Lagonav, est né en 1892 en Grande-Bretagne, en France. À la suite de ses études théologiques lors du grand séminaire Senjak, il est entré en Haïti dans le dernier quartier de 1912. Trois ans plus tard, Mgr Julien Mathurin Conan l’a béni comme peur. Puis il avait 23 ans.

Le père Euzen a travaillé dans la paroisse de Tijo, à Port -au -Prince, dans le quartier de Jacmel, dans la paroisse de Sentan (Port -au -Prince) et dans la paroisse de l’Arcahaie. En novembre 1925, l’archidiocèse est transféré à Lagonav. Il avait la mission d’étudier et de trouver la possibilité que les nouvelles services puissent fonctionner. Mais officiellement, c’est un an après son arrivée dans ce quartier.

Le père Allain Euzen a quitté Lagonav en 1929 pour la cause de la maladie. Lorsque sa santé a été restaurée, les autorités religieuses l’ont affecté dans plusieurs autres quartiers. Après cela, il a quitté Haïti. Il est décédé dans son pays, en France, en 1954. Il avait 62 ans.

Après Allain Euzen, plusieurs autres craintes de Breton et des Haïtiens fourniront cette communauté catholique comme le père Armand Guivard, le père F. Jean-Noël, le père Raoul Lezvre, le père Pierre Le Roux et le père Daniel Jean.

  1. Les missionnaires Esket arrivent, Lagonav obtient 2 paroisse

En 1958, à la suite d’un accord avec les Missionariens de l’Esket, Monssignor François Poirier, archevêque Port -AU-Prince, nommé père Arthur van den Bossche Ki Lagagonav et Fear Achiel Lemahieu Vicaires dans le même quartier. Cependant, la peur de la responsabilité de LeMahieu est principalement la station de pourboire. Avec cette décision, Mgr Poirier voulait rencontrer les fidèles dans cette localité qui lui ont demandé lors de sa visite sur l’île pour placer une paire à la tête de la gare de Senlui.

Pour convenir à cette décision, en 1961, la pointe est venue un quartier auxiliaire qui dépendait toujours de la garde-robe. Les autorités religieuses voulaient observer et comprendre si cette station avec cette chapelle développera toutes sortes et signifie devenir un vrai quartier. Ainsi, c’est en 1964 que le conseil est venu dans le quartier qui a joui de tous ses droits de la paroisse des Ansagalis. Mgr François Poirier voulait s’éloigner si loin de la considération de l’évangélisation de l’île, même envisagé de faire du lagonav un “vikarya apostolique”.

De 1958 à 1998, c’est une quinzième paire d’Esket qui a conduit le Sentisidor des Ansagalis. Parmi eux, le père Arthur van den Bossche, le père Alfons Van Hooyonck, le père Jules Van Looveren, le père Raphaël Maenhout, le père William (Bill) G. Quigley, le père Jean-Pierre Nzemba Wayi. Après cela, c’est la peur des diocèses qui continuent de fonctionner et ils sont là à ce jour.

  1. Des dyiociens sont arrivés, Lagonav a 4 paroisse

La Fondation paroissiale de Senlwi à la pointe devient diminuée dans le territoire paroissial du Sentisidor. Ainsi, en 1958, le père Arthur Van Den Bossche et Achiel LeMahieu a conçu ce territoire catholique en 2 parties. La région du Nord était sous la responsabilité de la peur de Van Den Bossche au sommet de l’église paroissiale. La zone sud était à la responsabilité de la peur de LemaHieu au sommet de la station de pourboire.

En 1961, lorsque la pointe est devenue des services auxiliaires. Leur peur a toujours gardé le même partage territorial. La zone nord sur les paroisses de la rencontre comprenait 7 stations: Titans, Zetwa, Gramang, lasous, Gransous, Palma et troubles. Alors que la zone sud de l’administration de la garde-robe auxiliaire couvrait 7 autres stations: pikmi, plaisir, courgette, lanceur, granvid, térsémarimadlene et Nanker.

La création de 4 autres paroisses (Gransous, Granmang, Tipalmiste, Portalmiste) a de nouveau diminué dans le territoire du Sentisidor. Cette fois, la garde-robe de la pointe est soumise à la même conséquence. Mais tout cela visait à concevoir davantage l’église à la population.

*Idson Saint-Fleur

Les journalistes, les sociologues ont déjà écrit plusieurs livres sur l’histoire des îles Lagonav. Il continue d’explorer ce domaine. Il prépare maintenant un livre sur l’histoire de l’Église catholique, de l’Église protestante et du vaudou tout en analysant les contributions sociales dans la vie gonavienne.

saintfleuri14@yahoo.fr

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