À l’éditeur: Si je m’attendais à prendre parti, je prends celle de Patrice Miller, mais je ne me sens pas si enclin en ce moment («La mort macabre d’une femme enflamme le débat sur la façon dont la Californie gère le problème des ours noirs», “ 15 mai). Bien que certains soient des animaux sociaux, les prédateurs ont besoin de leur espace, tout comme nous tous. La coexistence pacifique peut être possible pour certains, mais dans d’autres cas, la déménagement des animaux sans responsabilité proportionnelle me semble intrinsèquement erronée.
Ronald Webster, Long Beach
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À l’éditeur: “Pour beaucoup, il semblait qu’il y avait juste beaucoup d’autres ours empiétant sur les établissements humains.”
Au lieu de cela, n’y a-t-il pas trop d’humains qui empiètent sur les zones où les ours ont toujours vécu?
Marie Estes, Fullerton