
En utilisant des observations de la Voie Lactée, de la galaxie d’Andromède et en prenant en compte d’autres galaxies du groupe de systèmes galactiques dont elles font partie, des chercheurs de l’Université d’Helsinki en Finlande ont modélisé le mouvement des deux galaxies, créant une simulation qui modifie radicalement le calendrier précédemment convenu pour la collision intergalactique.
Cette simulation a pris en compte les forces gravitationnelles des systèmes galactiques proches, montrant que la probabilité d’une collision entre notre galaxie et notre voisine la plus proche est moins élevée au cours des dix milliards d’années à venir qu’on ne le pensait jusqu’à présent. Si une collision n’a pas lieu, les galaxies de la Voie lactée et d’Andromède pourraient s’éloigner l’une de l’autre plutôt que de se combiner.