Arrêtez de répandre ce trope dépassé sur les quartiers unifamiliaux

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A l’éditeur : Une fois de plus, on suggère que ceux qui possèdent et vivent dans des maisons unifamiliales sont riches et blancs. («Le plan de rezonage de Los Angeles ne générera pas suffisamment de nouveaux logements, selon un rapport», 18 novembre)

Une telle suggestion implique que le zonage unifamilial est intrinsèquement injuste et que chaque pâté de maisons a besoin d’au moins une immense boîte avec des balcons couvrant presque un terrain entier, juste pour faire descendre ces propriétaires d’un échelon ou deux. Et, soit dit en passant, il n’est pas nécessaire de nécessiter des places de stationnement pour l’immense box, ce qui ajoute au quartier la misère du stationnement et les vitres des voitures brisées pendant la nuit.

Je vis dans une maison modeste dans une modeste rue de zone R1 dans un quartier entièrement intégré. Mon expérience n’est pas unique, alors s’il vous plaît, laissez disparaître ce trope riche et blanc, car il est dépassé.

Je pense que les quartiers R1 méritent d’être préservés. Ils favorisent la stabilité et la communauté. Très souvent, les nouveaux immeubles multi-résidences en construction présentent des portes et des portails verrouillés vers le quartier, sans zone tampon pour l’interaction avec les voisins. Ils peuvent ajouter de l’espace habitable, mais ils n’ajoutent pas au quotient d’habitabilité de Los Angeles.

Il existe suffisamment d’espace pour une croissance autre que les blocs R1. Près de mon quartier, Western Avenue peut être construite. Ajoutez également un parc pour la communauté.

Ruth Silveira, Los Angeles

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A l’éditeur : Plus de construction de logements sans une croissance radicale des infrastructures de transport est une folie. La croissance du nombre de véhicules à occupant unique sur nos autoroutes en raison de l’augmentation du nombre de logements est intenable.

Oui, nous avons besoin de plus de logements ; mettez la charrue derrière les bœufs en investissant d’abord dans les transports de masse, et non en élargissant les autoroutes.

Alison M. Grimes, Yorba Linda

À suivre