L’assassinat en plein cœur de Moscou de son général chargé des armes chimiques intervient à la veille de la traditionnelle conférence de presse marathon de fin d’année du président russe. Poutine n’a pas encore commenté le retrait précipité de son pays de la Syrie après la chute d’Assad, mais il est sûr de se prononcer sur la mort du général Igor Kirillov, sous sanctions, et sur l’arrestation d’un suspect ouzbek qui a avoué travailler pour l’Ukraine.
