La « famine cardiaque » aux États-Unis est-elle à l’origine de l’attrait de Kamala Harris ?

Share on facebook
Share on twitter
Share on linkedin
Share on email

À l’attention de l’éditeur : Il est possible que le facteur le plus puissant qui motive des millions de votants en ce moment soit « la faim cardiaque ». («La lune de miel est terminée. Harris doit commencer à défendre sa présidence,” éditorial, 23 août)

Imaginez une nation dans laquelle le sens des choses les plus raffinées de la vie – la chaleur, l’empathie, l’amitié et l’appréciation de la beauté – serait remplacé par une insistance sur le ressentiment et la vengeance. Comme si cela ne suffisait pas, imaginez ces messages émanant d’une source dont le but premier est de dominer notre vie intellectuelle à toute heure du jour et de la nuit.

Alors songez que celui qui qualifie l’Amérique de « trou à rats du tiers-monde » accuse ses adversaires de haïr l’Amérique, alors même qu’ils louent notre capacité d’autocorrection.

En fin de compte, l’élection de 2024 se résume à réaffirmer notre identité nationale en éliminant la présence monstrueuse de l’ancien président Trump. Alors, que notre point de référence soit Ronald Reagan, Bill Clinton, John McCain, Barack Obama ou Joe Biden, nous retrouverons le chemin de nos espoirs historiques et de nos meilleures intentions.

Glenn Pascall, Dana Point

..

À l’attention de l’éditeur : Eh bien, hourra pour les démocrates : ils ont une candidate à la présidence qui est arrivée là en cochant toutes les cases, même si personne n’a réellement voté pour elle.

Les gens qui sont maintenant ravis de cette nouvelle semblent complètement inconscients ou ne se soucient pas du fait que Harris n’a pas encore donné deux interviews ou une seule conférence de presse, clairement parce qu’elle ne veut pas que les électeurs sachent quoi que ce soit de son bilan ou de sa politique.

Cela me rappelle un peu la « stratégie du sous-sol » de Joe Biden en 2020. Cela n’a fonctionné pour lui qu’à cause du COVID-19. Un de ces jours, Harris va devoir faire face à la musique, qu’elle le veuille ou non.

Phil Hyman, Van Nuys

À suivre