Le pape François était connu pour sa vision que l’Église catholique devrait être représentative et soutenir les pauvres et les faibles. Il a dénoncé une fois “un nouveau colonialisme” enraciné dans l’inégalité et le lait de profit, appelant la poursuite sans entrave de l’argent “la bouse du diable” qui a blessé les pauvres et blessé l’environnement. Yuka Royer jette un coup d’œil à la vision du pontife pour une église qui représentait et travaillait pour les défavorisées.
