Le terme limite la solution au système politique imparfait

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Jetez un coup d’œil à la catastrophe budgétaire en regardant cette nation en face. Les États-Unis sont maintenant de 37 billions de dollars de dette. Les déficits de plusieurs milliards de dollars s’étendent à la hauteur de l’œil. La sécurité sociale et l’assurance-maladie portent plus de 100 billions de dollars d’obligations non financées. La liste continue.

À un moment donné, l’offre de la dette américaine dépassera la demande et le gouvernement fédéral ne sera plus en mesure d’emprunter à des taux d’intérêt raisonnables. Ce moment marquera le calcul financier ultime – pire que tout ce que ce pays ait jamais connu.

Comment la nation est-elle arrivée ici? Le problème n’est pas l’ignorance ou la mauvaise arithmétique. Le problème est un système politique profondément imparfait qui incite à plusieurs reprises les mauvais choix.

Les fondateurs étaient des hommes d’État à temps partiel dont le devoir était de mettre les intérêts à long terme de la république naissante avant les intérêts personnels. Ils ont compris que si le gouvernement fédéral devenait trop grand et trop puissant, cela conduirait à la tyrannie et à la perte de liberté. C’est pourquoi la Constitution n’a accordé au gouvernement fédéral que le pouvoir limité, laissant le reste aux États et au peuple.

Aujourd’hui, le pays est régi par des politiciens de carrière qui considèrent la fonction publique comme une profession. Leur carrière dépend de la victoire des votes et de gagner des votes, ils promettent des avantages et des dépenses que les gens aiment recevoir mais ne veulent pas payer. C’est un cycle sans fin. Les politiciens donnent au public ce qu’il veut aujourd’hui, le public les récompense aux urnes, et le projet de loi est laissé demain.

Les politiciens se concentrent sur les prochaines élections, pas dans la prochaine génération. Le public ne voit souvent pas le danger car les conséquences sont cachées à l’avenir. Ce qui commence par des millions se transforme en milliards et des milliards se transforment en milliards de milliards.

La question est de savoir ce qui peut être fait pour changer de cap avant qu’il ne soit trop tard?

Une réponse claire est les limites des termes. Cette réforme changerait les incitations et éliminerait les politiciens de carrière à long terme qui se concentrent toujours sur les prochaines élections. Avec des limites de mandat, les élus pouvaient et devraient se concentrer sur le meilleur intérêt à long terme du pays. L’idée a déjà un large soutien public et un soutien croissant au Congrès.

Un autre pas en avant est la création d’une commission fiscale bipartite statutaire. Une telle commission, modélisée sur les efforts réussis du passé, pourrait mettre toutes les options sur la table et donner au Congrès une feuille de route pour l’action. S’il est structuré correctement, il pourrait fournir à la couverture politique que les législateurs doivent prendre des votes difficiles tout en rassurant le public que les sacrifices seront partagés équitablement.

Pour que ces recommandations soient efficaces, le soutien public est essentiel. Pour le gagner, il doit y avoir un effort éducatif massif et non partisan qui présente les faits clairement et honnêtement. Les chiffres eux-mêmes raconteront l’histoire.

Le problème est réparable, mais seulement si le public exige une action. Les politiciens répondent au peuple. Si le peuple est prêt à la responsabilité, leurs dirigeants le seront aussi.

Les Rubin est le fondateur et président de Main Street Economics / InsideSources

(TagStotranslate) Limites du terme

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