A l’éditeur : Le poursuite intentée par Trump contre le Des Moines Register et la sondeuse J. Ann Selzer est juridiquement infondé.
Le journal a publié le résultat d’un sondage sans méchanceté ; ils avaient parfaitement le droit de le faire. Le sondeur a rapporté ses résultats, encore une fois, sans méchanceté ; elle avait également le droit de rendre compte de ses découvertes.
Je suggère qu’une fois l’affaire rejetée, comme ce sera presque certainement le cas, les accusés lésés engagent leur propre action contre Trump pour abus de procédure et poursuites malveillantes, les deux pouvant être intentées devant un tribunal civil. Étant donné que chacun de ces actes s’est produit en dehors de tout pouvoir ou autorité présidentielle, le litige pourrait se poursuivre pendant que Trump est au pouvoir.
Trump pourrait alors être forcé d’apprendre que la vindicte peut faire un effet de boomerang et créer plus de problèmes qu’elle ne cherche à en résoudre.
Barry Rubin, Beverly Hills
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A l’éditeur : La sondeuse J. Ann Selzer dénonce avoir été accusée d’ingérence électorale sans « l’ombre d’une preuve ». Le résultat ridicule de son sondage est au moins en lambeau et le but de la découverte dans les poursuites judiciaires est de découvrir les faits derrière un acte… et ce « déchiqueté ».
Kip Dellinger, Santa Monica
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A l’éditeur : Votre article indique que Trump poursuit un sondeur et un journal de l’Iowa qui, selon lui, ont biaisé un sondage afin d’essayer d’aider son adversaire lors des récentes élections.
J’ai entendu parler des « mauvais perdants », mais Trump a inventé une nouvelle catégorie : les « mauvais gagnants ».
Ted Bacino, Palm Springs
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A l’éditeur : Richard Hasen, un expert en droit électoral, rapporte qu’il ne s’attend pas à ce que ce dernier procès Trump aboutisse. Susie Wiles, la célèbre chef de cabinet de Trump, n’est-elle pas censée conseiller à son patron obsessionnel et vengeur de ne pas prendre de décisions comme celle-ci ?
Juin Maguire, Mission Viejo