Lettres à l’éditeur : L’économie transcende les présidents ? Attendez que Trump adopte pleinement la cryptographie

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A l’éditeur : Je suis en désaccord avec L’affirmation de Jonah Goldberg selon laquelle l’économie américaine transcende les présidents. Ce qui manque dans son analyse, c’est que les politiques mettent des années à produire leurs effets.

Clinton a redressé l’économie et l’a confiée, prospère, à George W. Bush, qui a quitté ses fonctions alors que l’économie était en chute libre. Obama est venu à la rescousse et a même investi dans General Motors pour la sauver. Les Républicains de l’époque n’étaient pas favorables à l’investissement ni au sauvetage des banques. Obama a donné à Trump une économie florissante.

Trump a ensuite remis à Biden une économie et des politiques préparées à l’inflation. La réalisation marquante de son premier mandat a été la réduction des impôts pour les riches. Il a parlé d’investissement dans les infrastructures et de réforme des soins de santé, mais je suppose qu’il n’avait qu’une « idée de plan ».

Les politiques républicaines ont conduit à une plus grande inégalité des revenus, ce qui explique en grande partie pourquoi la classe moyenne souffre. La nouvelle administration envisage de réduire les protections accordées par le Bureau de protection financière des consommateurs et la Federal Deposit Insurance Corp. Si cela se produisait, cela entraînerait probablement davantage d’inégalités et de souffrances pour la classe moyenne.

Wayne Morgan, Ventura

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A l’éditeur : L’adoption des crypto-monnaies par la nouvelle administration Trump mettra certainement à l’épreuve l’idée de Goldberg selon laquelle les présidents n’ont pas beaucoup d’effet sur l’économie. Les souvenirs de l’effondrement financier de 2007-2008, dû en partie à des investissements exotiques, me viennent à l’esprit.

Alan Coles, Long Beach

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A l’éditeur : Donald Trump a déclaré en 2004 que l’économie se porte mieux lorsque les démocrates sont aux commandes.

Dans le « bon vieux temps » de notre pays, il y avait des très riches et des très pauvres, jusqu’à ce que Franklin Delano Roosevelt devienne président et crée la classe moyenne, qui constitue l’épine dorsale de notre économie depuis des décennies. Depuis lors, les Républicains ont travaillé dur pour nous ramener à ce « bon vieux temps » en accordant davantage d’allégements fiscaux aux riches et en augmentant les impôts de la classe moyenne avec les tarifs douaniers proposés par Trump.

Les Américains ne veulent pas retourner « vers le futur ».

Anastacio Vigil, Santa Monica

À suivre