On ne peut pas confier à Pete Hegseth les secrets de la nation

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A l’éditeur : Que la relation sexuelle de 2017 dans laquelle Pete Hegseth ne nie pas avoir été impliqué était consensuelle ou une agression, le rapport de police conforte la conclusion selon laquelle il constituerait un risque inacceptable pour la sécurité en tant que secrétaire à la Défense. («Une nuit fatidique à Monterey : beuverie, plaisanteries conservatrices, allégations d’agression sexuelle impliquant Pete Hegseth», 22 novembre)

Au moins un témoin tiers l’a décrit comme étant ivre au point d’être vu en public. Il ne nie pas avoir eu une relation sexuelle qui l’a incité à demander un accord de non-divulgation à la femme impliquée, indiquant qu’il pensait que son histoire représentait une menace pour sa réputation personnelle et professionnelle.

La même année où la rencontre a eu lieu, Hegseth a divorcé de sa deuxième épouse alors qu’il était engagé dans une liaison extraconjugale avec celle qui allait devenir sa troisième épouse.

Ce genre de comportement l’expose clairement à un éventuel chantage. On ne peut lui confier les secrets les plus importants de la nation ni les décisions qui affectent la sécurité de la nation aux plus hauts niveaux.

John Miller, Irvine

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A l’éditeur : Dans les années 1980, j’ai servi comme commandant de l’unité Navy ROTC à l’UC Berkeley. À l’époque, il était interdit aux femmes de servir au combat, une politique à laquelle notre candidat actuel au poste de secrétaire à la Défense aimerait revenir maintenant.

Un jour, un secrétaire adjoint de la Marine est venu prendre la parole. Une étudiante brillante a demandé : « Pourquoi la Marine n’affecte-t-elle pas les femmes à des emplois pouvant impliquer le combat ? » Notre visiteur VIP a répondu : « C’est parce que les femmes ne veulent pas se battre et mourir. »

“Est-ce que les hommes?” » a-t-elle demandé en réponse.

Avec ces deux mots, la femme, qui servira plus tard honorablement comme officier à bord d’un navire, a dit tout ce qu’il fallait dire pour clarifier la question.

Je l’ai regardée. Elle m’a regardé. Le secrétaire adjoint m’a jeté un coup d’œil. J’ai fait face à la secrétaire et j’ai haussé les épaules comme pour dire : « Eh bien, n’est-ce pas ?

Je voulais immédiatement féliciter l’étudiant. J’ai incliné la tête dans sa direction et j’ai hoché la tête par l’affirmative, mais à peine, comme pour dire : « Bien joué.

Stephen Sloane, Lomita

À suivre