À l’attention de l’éditeur : Après que la Cour suprême des États-Unis a laissé la politique d’avortement aux États, imaginons que cette tendance se poursuive.Les élections de novembre pourraient faire – ou défaire – la liberté de procréation,” éditorial, 26 août)
Les gouverneurs concluront que les États sont trop grands et diversifiés pour trancher la question, et que cette décision devrait donc revenir à chaque comté.
L’administrateur du comté affirme qu’il n’a pas autorité sur le droit à l’avortement, il transfère donc cette responsabilité à chaque ville et canton.
Les maires et les dirigeants locaux répondent qu’ils ne peuvent pas décider de cette question pour tout le monde, et que celle-ci est transférée aux districts et aux quartiers de la ville.
Les dirigeants locaux déclinent cette charge et permettent à leur tour à chaque foyer et à chaque famille de décider par eux-mêmes.
En fin de compte, la question des droits reproductifs concerne le peuple, et non les hommes politiques.
David Newkirk, Redondo Beach



