Pouvons-nous avoir un débat présidentiel sur le caractère ?

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À l’attention de l’éditeur : Le caractère d’un candidat à la présidentielle est-il toujours important pour les électeurs américains ? Et si nous changions l’orientation de la campagne ? Débat présidentiel du 10 septembre de la variété « habituelle » des questions importantes à une seule : le caractère de chaque candidat ?

J’ai une suggestion qui sort des sentiers battus : oubliez les débats habituels et concentrez-vous entièrement sur les traits de caractère de chaque candidat. Je pense que cette approche donnerait l’occasion au peuple américain de découvrir qui sont vraiment l’ancien président Trump et la vice-présidente Kamala Harris.

Alors, à quoi ressemblerait une discussion sur le caractère moral de chaque candidat ? Le modérateur pourrait envisager d’aborder l’honnêteté, l’intégrité, la compassion et même la règle d’or. Voici quelques exemples de questions possibles à poser à chacun des candidats :

Quand avez-vous commis ou admis une erreur ? Qu’avez-vous fait pour la corriger ? Quand vous êtes-vous senti mal à cause de votre comportement ? Quand vous êtes-vous excusé ? Quand êtes-vous émotif ? Quelles sont vos forces et vos faiblesses ? Qu’est-ce qui est important pour vous ? Quand avez-vous fait un acte de gentillesse ?

Parlez de votre foi. Parlez de vos capacités d’écoute, en particulier lorsque vous n’êtes pas d’accord avec quelqu’un. Parlez de votre amour pour votre prochain et de la façon dont vous avez montré de l’intérêt pour un étranger. Qu’est-ce qui vous rend triste ? Qu’est-ce qui vous rend humble ?

Si ce type de « débat » devait avoir lieu, cela pourrait être une révélation pour beaucoup d’entre nous.

Howard Bolinger, La Quinta

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À l’attention de l’éditeur : J’aimerais que les médias d’entreprise (y compris vous-mêmes) arrêtent de qualifier ces affrontements politiques de « débats ».

Les vrais débats se dérouleraient dans des sociétés de débat universitaires sans public, avec des modérateurs neutres qui présenteraient des propositions aux débatteurs pour qu’ils les commentent et les soutiennent avec des faits et des données objectifs, suivies immédiatement d’une notation par une équipe de juges indépendants.

Qualifier ces émissions de téléréalité de « débats » constitue une faute professionnelle journalistique.

Daniel Harrison, Chula Vista

À suivre