Il existe une solution à la controverse en cours sur le remplacement du sceau, du drapeau et de la devise historiques de l’État que les critiques ont jugé raciste.
C’est le sceau qui est composé d’un Américain tenant un arc dans une main et une flèche dans l’autre. Il est vêtu de vêtements indigènes et a des plumes à l’arrière de sa tête.
Au-dessus de lui se trouve un bras tenant une épée qui pourrait être interprétée comme menaçante,
Drapée autour de l’image se trouve la devise latine qui se traduit par «par l’épée, nous recherchons la paix, mais la paix sous la liberté».
Une commission spéciale remaniée a récemment proposé plusieurs remplacements de conception insipide qui élimineraient les Amérindiens et son arc et sa flèche, ainsi que le bras brandissant l’épée.
La devise émouvante serait également remplacée par quelque chose comme «nous nous réjouissons dans le bien public».
La Commission tiendra une série d’audiences publiques pour recueillir les commentaires, puis fera des recommandations au gouverneur.
Le gouverneur Maura Healey aura la possibilité de faire des recommandations pour des modifications à l’Assemblée législative ou de simplement laisser assez bien.
Compte tenu de la déverrouillage du gouverneur, il est prévu qu’elle accepte tout ce que le toast au lait change que la commission recommande.
Bien que originaire du New Hampshire, Healey n’est pas live libre ni guerrier.
En outre, la question est devenue une question politique et comme les deux candidats républicains pour le gouverneur sont pour garder les choses les mêmes, Healey pourrait recommander des changements.
En tant que candidat du GOP, Brian ShortSleeve, un vétéran du Corps des Marines américains, l’a dit: «Nous avons un grand drapeau. C’est un drapeau que j’aime. C’est un drapeau qui représente notre héritage.»
ShortSleeve et son collègue candidat du GOP, Mike Kenenaly, ont fait leurs remarques en réponse à un Poll Herald qui a montré que 82% des lecteurs interrogés ne veulent aucun changement.
Bien qu’il ne s’agisse pas d’un ex-marin, Kenaly en sonnait comme un. Il a dit: «Notre drapeau d’État représente la liberté de la tyrannie et est un symbole du Massachusetts.»
Le sceau, le drapeau et la devise remontent à 1786. Le sceau est imprimé sur tous les documents d’état et les fichiers de drapeau sur ou sur tous les bâtiments de l’État.
La proposition de remplacement du sceau «raciste» provenait des émeutes après le meurtre de George Floyd en 2020, lorsque des émeutiers exigeant un changement ont démoli des statues confédérées et changé de noms, entre autres.
Par conséquent, la création de la Commission qui a appelé à l’élimination controversée du sceau, du drapeau et de la devise de l’État historique et établi.
Une solution (la mienne) est que si des modifications doivent être apportées, elles doivent être faites pour faire appel aux deux côtés du débat – les progressistes anti-vente et les conservateurs pro-SEAL.
Les Amérindiens sur le sceau sont censés être basés sur l’un des deux (ou les deux) des Amérindiens qui ont été parmi les premiers à saluer les pèlerins à Plymouth en 1620. Ils étaient Samoset de la tribu Abenaki orientale, et Squanto, un Wampanoag.
Cet amérindien sur le sceau pourrait être remplacé, par exemple, par l’un des pèlerins – disent que William Bradford, le chef de pèlerin, ou Miles Standish, le commandant militaire du groupe.
Au lieu de l’arc et de la flèche, le remplacement de Bradford ou Standish, vêtu d’un costume de pèlerin usé, portait un casque et tiendrait un mousquet de matchlock.
Le bras au-dessus du sceau mangeait un tomahawk au lieu d’une épée.
Et la devise latine lisait: “Par le Tomahawk, nous recherchons la paix, c’est dommage que vous ne l’avez pas fait.”
Le journaliste politique vétéran Peter Lucas peut être contacté à: Peter.lucas@bostonherald.com
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