La réaction en cas de catastrophe d’aucun des deux candidats n’a été formidable. Trump était vraiment horrible

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A l’éditeur : Aucun éloge n’est dû à la vice-présidente Kamala Harris ou à l’ancien président Trump pour s’être rendus dans une zone sinistrée avant une élection. L’empathie ne nous portera pas beaucoup avant de nous rendre compte que les infrastructures ainsi que les structures sont en mauvais état. («Missiles, ouragan et frappe : comment 3 crises façonnent la course à la présidentielle», 2 octobre)

Merci, vice-président Harris, mais comment allez-vous apporter une véritable aide exactement ? D’un autre côté, attaquer le gouvernement élu pour son échec alors que l’ouragan est à peine passé est une astuce peu coûteuse, flagrante et très ennuyeuse, exécutée à la demande de Trump pour enflammer les gens qui souffrent.

D’une manière tragique, il est comique pour un négationniste du changement climatique comme Trump de dénoncer son adversaire pour avoir causé la mort et la destruction en raison de la modification de l’environnement mondial. Il est l’agent principal incontesté de la fausse science et de l’échec de la réponse au COVID-19 qui a tué des milliers d’Américains.

Le vainqueur de la pire réponse à un ouragan : Donald Trump.

Michael Gross, Woodland Hills

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A l’éditeur : Le Times a publié en première page une photo de Trump visitant les zones ravagées par les ouragans.

Bien entendu, il s’est rendu dans la région non pas pour aider la population, mais pour des raisons politiques. Il a profité de sa visite pour faire de fausses déclarations sur la réponse fédérale à la crise.

Au cours de son mandat de président, il a détourné le financement des interventions fédérales en cas de catastrophe. Le projet 2025, le projet controversé de la prochaine administration républicaine, appelle à la restructuration de l’Agence fédérale de gestion des urgences afin de réduire l’aide aux États dans le besoin.

Par ailleurs, il a déclaré qu’il révoquerait le statut légal des immigrants haïtiens aux États-Unis et que nous devrions organiser une journée de violence pour débarrasser notre pays du crime.

Mais n’hésitez pas à imprimer une photo de lui au-dessus de la ligne de flottaison, le montrant censé livrer de l’aide à la région.

Avril Wilson, Riverside

À suivre