À l’attention de l’éditeur : Je suis triste d’apprendre le glissement de terrain à Rancho Palos Verdes, mais apparemment, les gens qui y vivent veulent que le gouvernement lutte contre Mère Nature.Le glissement de terrain de Palos Verdes continue de s’aggraver. La colère des habitants monte,” 22 septembre)
Le 10 janvier 2005, un glissement de terrain a frappé la communauté côtière de La Conchita, dans le comté de Ventura, détruisant ou endommageant gravement 36 maisons et tuant 10 personnes. Ce n’était pas le premier glissement de terrain destructeur à endommager cette communauté, et il est peu probable qu’il soit le dernier, selon l’US Geological Survey.
Les glissements de terrain dans les falaises et les collines proches des plages sont fréquents. Amtrak a dû interrompre son service via Sam Clemente en raison de glissements de terrain près de ses voies dans cette zone.
La colère ne résoudra pas le problème. S’il existait une solution au problème du glissement de terrain à Rancho Palos Verdes, le gouvernement aurait déjà pris cette mesure.
Don Evans, Canoga Park
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À l’attention de l’éditeur : J’ai grandi à Long Beach. Je me souviens d’articles parus dans le journal Long Beach Press-Telegram dans les années 1950, qui mentionnaient le glissement de terrain dans la région de Portuguese Bend à Rancho Palos Verdes, une partie d’une zone bien connue de glissements de terrain préhistoriques.
Le glissement de terrain a repris en 1969 et les mouvements de terrain se sont poursuivis depuis. L’un des glissements de terrain les plus spectaculaires s’est produit en 1999 à l’ancien Ocean Trails Golf Club, qui a conduit à sa faillite.
Dans les années 1950 et 1960, il semble que le sol et les maisons s’écroulaient et finissaient par être rasées au bulldozer, et après un certain temps, de nouvelles maisons étaient construites dans les mêmes zones de la Courbe portugaise. Je me demandais alors, comme aujourd’hui, pourquoi des permis de construire étaient accordés dans une zone connue pour son instabilité.
Mère Nature a toujours le dernier mot.
Richard Wulfsberg, Studio City