A l’éditeur : Je lis celui de Bonnie Kristian Pièce du jour de Noël sur la fin de la guerre, de la maladie et de la cruautéj’ai été frappé par l’impuissance que le christianisme inculque chez certains de ses adeptes. Le message de Noël semble être que Dieu nous sauvera, et pourtant nous voilà, plus de 2 024 ans plus tard, avec la guerre, la maladie et la cruauté qui nous tourmentent toujours.
À l’autre extrémité de ce spectre de croyances, par exemple, se trouve l’enseignement le plus élevé du bouddhisme : chacun possède en lui un potentiel infini de bien. Et comme presque tous nos problèmes sont créés par nous, le pouvoir de les résoudre réside en nous. Nous n’avons pas besoin de nous tourner vers une puissance ou une force extérieure.
C’est là qu’intervient la pratique bouddhiste. En termes contemporains, nous pourrions appeler cette pratique « révolution humaine ». Nous devons nous changer fondamentalement, maîtriser nos instincts les plus bas et cultiver nos qualités les plus nobles.
Ensuite, nous, les humains ordinaires, pouvons créer un monde pacifique et compatissant.
David Tempête, Mar Vista