À l’éditeur: Les élus bénéficient des avantages politiques de la démonstration de la générosité aux victimes de catastrophes (««CL’Alifornia devrait se déplacer plus rapidement sur l’énergie propre. Certains législateurs veulent faire une pause,»10 avril). Dans le contexte du changement climatique, cela peut s’avérer à courte vue, voire contre-productive.
Je crédite le chroniqueur Sammy Roth pour avoir courageusement allée là où sa compréhension profonde le mène inexorablement. Les réglementations existantes sont déjà insuffisantes pour atteindre les objectifs d’émissions de l’État. Pendant ce temps, les avantages financiers du projet de loi 306 de l’assemblage aux propriétaires, le cas échéant, sont dérisoires par rapport aux coûts à long terme de l’augmentation de la pollution atmosphérique (malsain), des émissions accrues de CO2 (réchauffement), de l’électrification lente (transition ralentie vers l’énergie propre) et des décennies de maisons neuves et existantes (ressources gaspillées).
Le concept d’abordabilité doit élargir pour inclure le coût des autres quartiers qui augmentent en fumée, certains pour la deuxième fois. Il ne reste plus de temps pour tergiverser sur le mandat que représente l’urgence climatique. Les élus devraient soutenir leur législation sur le climat récemment adopté et avant-gardiste.
Gary Stewart, Laguna Beach
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À l’éditeur: Le président de l’Assemblée, Robert Rivas, est sur la mauvaise voie, s’il pense qu’il peut aider les coûts de logement en Californie avec une pause de six ans sur les nouvelles règles d’énergie propre. J’ai des nouvelles pour lui: le réchauffement climatique est causé par les émissions de gaz à effet de serre, et l’arrêt des règles d’énergie propre aggrave encore le problème plus tard. Rivas doit trouver d’autres économies des frais de logement. Ceux-ci pourraient inclure la construction de petites maisons et d’appartements à de plus grandes densités. Une meilleure planification urbaine est également nécessaire, à commencer par les transports publics. Le réchauffement climatique est à l’abri de nos préoccupations concernant la baisse des coûts de logement.
Carl Mariz, Irvine