À l’éditeur: J’ai parfois relié des pièces dans la section d’opinion pour être sûr d’avoir compris toutes les nuances ou de lutter contre une perspective particulière sur une question, y compris la mienne. Jusqu’à aujourd’hui, je ne pense pas avoir lu deux fois un article. En fait, j’étais dans une telle incrédulité que je devais le lire trois fois («Des ennuis ours en Sierra Madre: après l’incendie d’Eaton, les invasions à domicile augmentent fortement», » 1er août).
Les autorités ont abattu un ours qui avait été tranquillisé? L’ours n’était pas une menace pour qui que ce soit tout en tranquillisé. Pourtant, au lieu de la cuire plus loin dans la nature sauvage et de la libérer, ils ont jugé nécessaire de la tuer? Tirer sur un animal contenu est un acte de cruauté. S’il y avait une raison légitime d’euthanasier l’ours, il existe des moyens humains de déposer un animal sans douleur.
Il va sans dire que personne ne veut qu’un ours entre dans leur maison, mais cette tentative de solution mal avisée est un acte de barbarie inutile, une version en 2025 de la fin du film de 1957 «Old Yeller». Sauf que le tir de ce chien était un acte d’amour. Tirer cet ours était un acte de brutalité.
Teresa DeCrescenzo, Studio City